mardi 30 novembre 2010

26è MARATHON des GORGES de L'ARDECHE : LES CHAVIRAGES

Les "cascadeurs" du 26è Marathon International des Gorges de l'Ardèche s'en sont donné à coeur joie dans les eaux du rapide le "Charlemagne", premier obstacle sérieux de cette compétition Ardèchoise de premier plan. J'espère que les compétiteurs concernés ne prendront pas la mouche. Allez, des entrainements sérieux durant une année et en novembre 2011 ils emprunteront la bonne ligne d'eau pour passer sans encombre ces satanés obstacles sur la route de la gloire.
Il est vrai que j'étais un peu confus de figer ces instants sportifs peu glorieux. Mais la mauvaise foi a vite repris le dessus ... Donc, ci-dessous (ouaf-ouaf !!! après le dessus le dessous ...) quelques clichés pas supers supers, mais l'eau de l'Ardèche n'est pas encore bénite ...

* Clic sur l'image pour voir plus grand.





























































Assez pour aujourd'hui, on vide les bateaux et ..........................


............. on cherche un raccourci pour rentrer à la maison.

lundi 29 novembre 2010

AUBENAS en SUD-ARDECHE : QUAND SE FERMENT LES VOLETS.

J'ai cadencé mon allure au tempo régulier du temps. J'ai suivi son parcours sinueux que la tombée du jour et les couleurs du  soleil couchant apaisent avant sa fuite inépuisable dans l'obscurité des heures de rêves. 

Fin Novembre le soleil se couche tôt et rapidement.

Aubenas (sud-ardèche) le soir à la fenêtre.




Allez on ferme les volets à Aubenas 07.



dimanche 28 novembre 2010

AMBIANCE GRISE COMME LA DEPRIME DU TEMPS

Des photos rapinées au village de VOGÜE en sud-Ardèche, grises comme le ciel de ce dernier dimanche du mois de novembre.

Le château de Vogüé.

Le pont de Vogüé dont l'ancètre remonte à 1456.

vendredi 26 novembre 2010

DES FLEURS MOUILLEES

Même si la neige nous est annoncée pour demain je vous souhaite tout de même un bon week-end avec ces fleurs et feuilles qui pleurent des larmes de pluie.


Nénuphars après la pluie.


Tulipes après la pluie.



Les larmes coulent sur la blancheur immaculée des pétales.

26è MARATHON INTERNATIONAL des GORGES de L'ARDECHE (suite2)

http://natureenligne.blogspot.com/2010/11/26e-marathon-international-des-gorges.html  Pour voir les photos de l'article précédent.

Avant de vous montrer les images des "gamelles" en eau vive, des bateaux à la dérive, quand ce n'étaient pas les pilotes en perdition dans l'écume de la rivière, quelques photos prises toujours au rapide "le Charlemagne" avant le Pont d'Arc.


*Cliquez sur les photos pour voir en plus grand format.




26è Marathon des Gorges de l'Ardèche.
   
26è MARATHON INTERNATIONAL des GORGES de L'ARDECHE

 
26è MARATHON INTERNATIONAL des GORGES de L'ARDECHE

26è MARATHON INTERNATIONAL des GORGES de L'ARDECHE

 

26è MARATHON INTERNATIONAL des GORGES de L'ARDECHE

 

26è MARATHON INTERNATIONAL des GORGES de L'ARDECHE

26è MARATHON INTERNATIONAL des GORGES de L'ARDECHE

 
 
26è MARATHON INTERNATIONAL des GORGES de L'ARDECHE


 

jeudi 25 novembre 2010

26è MARATHON INTERNATIONAL des GORGES de L'ARDECHE

Le 13 novembre plus de 1600 adeptes de la pagaie en eaux libres étaient au départ du 26è marathon des gorges de l'Ardèche. A cette occasion Vallon Pont d'Arc -sud-Ardèche - avait retrouvé des allures estivales de la place de la mairie au célèbre Pont d'Arc qui fait sa notoriété.
Posté au "Charlemagne" premier rapide mouvementé des Gorges, ses énormes rochers cachés en partie par le bon niveau d'eau, juste avant l'arche naturelle, il ne me restait plus qu'à fouler les berges de la rivière en compagnie d'un public en nombre et avisé. Supers passages pour certains, chavirages plus ou moins sévères pour d'autres ... Et ces affamés de spectateurs bien au sec avec leurs drôles de boites à la main pour figer ces instants de misère sportive. Allez les gars c'est oublié ; à l'année prochaine.


La fin du rapide avant le pont d'arc (07).

Dans le rapide du Charlemagne.

Un peloton dans le rapide du charlemagne.

Objectif : retrouver le sens de la descente.

Le plus dur arrive..
L'un pagaie, l'autre freine ?

mercredi 24 novembre 2010

BORD DE RIVIERE POUR REVEURS


Quand je vais voir les canards colverts de Vogüé au bord de la rivière Ardèche, bien entendu hors saison touristique cela va de soi et juste avant le coucher du soleil, seuls les commérages des dames canes et demoiselles canettes troublent la sérénité de ce lieu magique. C'est la symbiose de l'eau et de ses habitants qui nous rejoint et nous baigne dans sa félicité.


La rivière Ardèche baigne le village de Vogüé (sud-ardèche).



La plage en fin d'automne au bord de la rivière ardèche.





Le soleil se couche sur le village de Vogüé (sud-ardèche).


mardi 23 novembre 2010

SUD-ARDECHE : DANS LA RUE POUR EXIGER L'ABROGATION DE LA LOI SUR LES RETRAITES

Pas essoufflés les trois cent manifestants (minimum) rassemblés à AUBENAS en sud-Ardèche par cet après-midi un peu frisquet. Il manquait bien les drapeaux de quelques syndicats. Vous avez dit bizarre !! Mais un moral énorme pour ce peuple du travail qui descend une fois encore dans la rue pour tenter de se faire entendre. Le but de la manoeuvre : toujours pareil, toujours le même. Abrogation de cette "loi scélérate" promulguée le 10 novembre dernier.
Certes il faut sauver le régime par répartition, c'est essentiel,  et de ce fait trouver dans quelques poches les deniers nécessaires. Mais, de grâce, laissez partir à 60 ans les salariés aux métiers pénibles. Ceux-là ont peu d'espoir de finir centenaires. Et ne parlez plus jamais de la barrière à 67 ans pour une retraite sans décote. Immoral et assassin. L'être humain compte tout de même plus que les dividendes ! la vie tout simplement - et les quelques années de retraite que l'on peut espérer sereines - est trop précieuse pour être gachée par un discours démagogique et un texte de loi anti-France. La crise financière actuelle (et non elle n'est pas finie la crise. N'écoutez pas le discours enchanteur de quelques ministres. Tendez plutôt l'oreille du coté de l'Irlande et l'opération de sauvetage de ses banques ruinées par trop de spéculation.) n'est pas à mettre au débit des salariés. Ils n'ont pas à payer les pots cassés par la finance internationale. Mesdames et Messieurs nos dirigeants politiques piochez donc dans les larges poches cousues des fautifs. Vous les connaissez bien, ils sont des vôtres.

Manifestation du 23 novembre dans les rues d'Aubenas (ardèche).

LES CARNARDS SUD-ARDECHOIS SORTENT TOUS LES JOURS

La troupe caquetante de mes nouveaux copains les canards de Vogüé en sud-ardèche me passionne au-delà de leur sympathique manège devant les pourvoyeurs de friandises canardesques qui les aguichent et font paraitre sans limite leur répertoire gourmand et leur gloutonnerie.


Le soleil se couche sur la rivière.


Que la vie est belle les pieds dans l'eau, guettant dans le miroir qui passe le reflet sans cesse renouvelé d'une beauté partagée par son compagnon colvert de l'année.



Les colverts se mirent dans la rivière.



Dame colvert célibataire.

A l'image de l'hebdo du mercredi qui en des temps guerriers débutait une carrière surement satirique mais surtout pourvoyeuse de vérités cachées, nos colverts sud-ardèchois furètent dans la moindre parcelle de leur monde quotidien et sans "brosse à reluire" gardent une liberté de ton au milieu des humains qui accourent au spectacle.



Un canard pas enchainé et fureteur.


Bon, assez de paroles ; la nuit va tomber. Il se fait temps de boucler cet article. A demain.

Allez les canards, il est temps d'aller au lit.

lundi 22 novembre 2010

LES YEUX PERDUS DANS LE BLEU DU CIEL

Du ciel plein les yeux ; les yeux émerveillés. Quand le ciel et la terre, moments sublimes et rares, offrent leurs chants à travers les aiguilles des pins d'un bois commun bordé par un chemin sableux et une ruine édentée qui a connu les temps magiques des sorcières et des farfadets qui peuplaient les forêts ; lumière brillante des temps ; riches heures d'un espoir de liberté  jamais comblé.


La tête des pins baigne dans le ciel bleu.

Hélas une fois de plus je rêvais - instant prodigieux - par un après-midi comme sait en distiller notre petit coin de France.


Des arbres lancés vers la liberté céleste.